La parure


Guy de Maupassant, 1884, Réédition Larousse

Mathilde Loisel, femme de monsieur Loisel, un commis du ministère de l’instruction publique, se plaignait de sa vie simple. Cette ravissante femme rêvait d’une vie luxueuse. Un jour, son mari et elle furent invités à une fête. La femme, désespérée, se plaignait de n’avoir rien à se mettre d’élégant. Ce problème fût réglé par son mari. Pour les bijoux, elle alla demander à son ami proche, madame Forestier. Là-bas, elle emprunta une rivière de diamants. Le soir de la fête, madame Loisel était la femme la plus admirée et demandée des hommes. 

A la fin de la soirée, après sa rêverie, Mathilde se rendit compte qu’elle avait perdu la rivière de diamants de son amie. C’est là que commencèrent les problèmes. Monsieur et madame Loisel achetèrent donc un collier similaire à celui emprunté. Ils rendirent le collier et durent maintenant payer leur dettes. Après dix ans de travail acharné, le couple pût enfin couvrir ses dettes. Mathilde, la jeune et éblouissante femme d’autrefois, avait vieilli. Un jour elle rencontra son amie de longue date, madame Forestier, et lui avoua la vérité. Son amie, prise de compassion pour elle, avoua aussi la vérité: le collier perdu était un faux.

Ce que j’aime dans le récit :

Guy de Maupassant critique la société de son temps et la pression exercée sur les femmes pour être belles et admirées. Il montre à quel point une erreur de jugement peut ruiner une vie.

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